Le choix de nos ingredients

Dinde

 

Caractéristique de la dinde :

Excellente source de protéines et de fer ;

Pauvre en lipides ;

Contient peu de cholestérol ;

Faible teneur en calories.

Valeurs nutritionnelles et caloriques de la dinde

Pour 100 g de dinde crue :

Nutriments teneur moyenne

Calories 110

Protéines 22,4 g

Glucides 0,8 g

Lipides 1,88 g

- saturés 0,52 g

- monoinsaturés 0,54 g

- polyinsaturés 0,61 g

Cholestérol 65,5 mg

Fibres alimentaires 0 g

Phosphore : la dinde est une excellente source de phosphore (voir notre fiche. Le phosphore constitue le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Ce minéral joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe entre autres à la croissance et à la régénérescence des tissus, aide à maintenir à la normale le pH du sang et est l’un des constituants des membranes cellulaires ;

Fer : la viande brune de la dinde est une excellente source de fer pour l’homme, mais seulement une source pour la femme. La viande blanche de la dinde est quant à elle une bonne source de fer pour l’homme tandis qu’elle ne représente qu’une source de fer pour la femme, puisque leurs besoins respectifs en ce minéral sont différents. Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Il est à noter que le fer présent dans les viandes (fer héminique) est mieux absorbé dans l’organisme que le fer contenu dans les aliments d’origine végétale ;

Zinc : la viande brune de la dinde est une excellente source de zinc. La viande blanche est quant à elle une excellente source de zinc pour la femme et une bonne source pour l’homme, leurs besoins respectifs étant différents. Le zinc participe notamment aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la synthèse (fabrication), à la mise en réserve et à la libération de l’insuline ;

Sélénium : la dinde est une excellente source de sélénium. Ce minéral travaille avec l’une des principales enzymes antioxydantes, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans l’organisme. Il contribue aussi à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active ;

Vitamine B3 : la viande blanche de la dinde est une excellente source de vitamine B3, tandis que la viande brune est une bonne source. Appelée aussi niacine, cette vitamine participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d'énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l'alcool que nous ingérons. Elle prend part aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normaux ;

Acide pantothénique : la viande brune de la dinde est une excellente source d’acide pantothénique, tandis que la viande blanche est seulement une source. Aussi appelée vitamine B5, l’acide pantothénique fait partie d’une coenzyme clé nous permettant d’utiliser de façon adéquate l’énergie présente dans les aliments que nous consommons. Il participe aussi à plusieurs étapes de la fabrication des hormones stéroïdiennes, des neurotransmetteurs et de l’hémoglobine ;

Vitamine B6 : la dinde est une excellente source de vitamine B6. Cette vitamine, aussi appelée pyridoxine, fait partie de coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la synthèse (fabrication) des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leur permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et elle collabore au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine prend enfin part à la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et à la modulation de récepteurs hormonaux ;

Cuivre : la viande brune de la dinde est une bonne source de cuivre, tandis que la viande blanche est une source. En tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres ;

Vitamine B2 : la viande brune de la dinde est une bonne source de vitamine B2, aussi connue sous le nom de riboflavine. La viande blanche est quant à elle une source. Tout comme la vitamine B1, la vitamine B2 joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules. De plus, elle contribue à la croissance et à la réparation des tissus, à la production d’hormones et à la formation des globules rouges ;

Vitamine B12 : la dinde est une bonne source de vitamine B12. Cette vitamine travaille de concert avec l’acide folique (vitamine B9) pour la fabrication des globules rouges dans le sang. Elle participe aussi à l’entretien des cellules nerveuses et des cellules fabriquant le tissu osseux.

Les bienfaits de la dinde

 

La dinde présente une faible teneur en matières grasses et en acides gras saturés et pourrait ainsi être intégrée à une diète préventive des maladies cardiovasculaires. Sa teneur élevée en sélénium pourrait aussi aider à protéger des maladies cardiovasculaires. De plus, la consommation de dinde s’avère particulièrement intéressante pour les individus souffrant d’allergies alimentaires, car la protéine de dinde est rarement allergène.

Protection cardiovasculaire

 

La dinde est considérée comme une viande ayant une faible teneur en matières grasses et en acides gras saturés, ces composés étant associés à l’apparition des maladies cardiovasculaires. En particulier, les acides gras saturés sont liés à des perturbations physiologiques qui pourraient provoquer des maladies cardiovasculaires, comme une diminution du flot sanguin ou une augmentation de différents marqueurs d’inflammation. La consommation de dinde favoriserait une amélioration du profil lipidique. 

Dans une étude d’intervention, des individus hypercholestérolémiques suivant une diète faible en lipides incluant quotidiennement 170 g (environ 6 oz) de viande blanche, telle la dinde, voyaient leur cholestérol LDL (« mauvais » cholestérol) diminuer et leur cholestérol HDL (« bon » cholestérol) augmenter. Par contre, le lien entre la consommation de gras saturés et le risque cardiovasculaire n’a pas encore été complètement élucidé et fait l’objet de controverses depuis quelques années. 

En effet, ceux-ci ne seraient pas aussi mauvais qu’on le dit depuis longtemps car les données scientifiques n'appuient pas les recommandations actuelles d’en limiter la consommation. La dinde a un profil d’acides gras intéressant pour la santé. Elle figure parmi les viandes qui contiennent le moins d’acide myristique, un acide gras saturé particulièrement néfaste pour la santé du cœur, ce qui lui attribue un faible pouvoir athérogène. 

Allergies alimentaires 

 

Peu de cas d’allergies à la protéine de dinde sont rapportés dans la littérature scientifique. La dinde ne figurant pas comme un aliment allergène, il s’agit donc de l’une des premières viandes que peuvent consommer les jeunes enfants lorsqu’on introduit des aliments solides dans leur alimentation.

Poulet

Caractéristiques du poulet

 

Excellente source de protéines maigres ;

Peu calorique ;

Profil lipidique intéressant ;

Favorise la santé cardiovasculaire ;

Richesse en vitamines et minéraux.

 

Valeurs nutritionnelles et caloriques du poulet

 

Que vaut une «portion» de poulet?

Poids/volume Poulet, 200g

Calories 329

Protéines 56,2g

Glucides 0,0g 

Lipides 11,1g

-saturés

3,2g

-monoinsaturés

4,8g

-polyinsaturés

2.36g

Cholestérol 213mg

Fibres alimentaires 0,0g

 

 

Zoom sur les micronutriments contenus dans le poulet

 

Parmi les nutriments contenus en bonne quantité dans la viande de poulet, nous pouvons citer les suivants :

Phosphore. Le poulet est une excellente source de phosphore. Celui-ci constitue le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe entre autres à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Finalement, le phosphore est l’un des constituants des membranes cellulaires ;

Zinc. Le poulet (viande brune) est une excellente source de zinc. La viande blanche, quant à elle, en est une bonne source pour la femme et une source pour l’homme, dont les besoins sont supérieurs. Le zinc participe notamment aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la fabrication, à la mise en réserve et à la libération de l’insuline ;

Sélénium. Le poulet est une excellente source de sélénium. Ce minéral travaille avec l’une des principales enzymes antioxydantes, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans l’organisme. Il contribue aussi à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active ;

Vitamine B3. Le poulet est une excellente source de vitamine B3. Appelée aussi niacine, la vitamineB3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d'énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l'alcool que nous ingérons. Elle collabore aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normaux ;

Vitamine B6. Le poulet est une excellente source de vitamine B6. Aussi appelée pyridoxine, la vitamine B6 fait partie de coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la fabrication des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leur permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et elle contribue au bon fonctionnement du système immunitaire. Enfin, cette vitamine joue un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses ;

Fer. La viande brune du poulet est une bonne source de fer pour l’homme et une source pour la femme, les besoins de la femme étant supérieurs. La viande blanche en est une source pour l’homme et la femme. Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Il est à noter que le fer contenu dans les aliments d’origine animale (dont le poulet) est mieux absorbé par l’organisme que le fer contenu dans les végétaux ;

Vitamine B2. La viande brune du poulet est une bonne source de vitamine B2, aussi connue sous le nom de riboflavine. La viande blanche, quant à elle, en est une source. Tout comme la vitamine B1, la vitamine B2 joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules. De plus, elle contribue à la croissance et à la réparation des tissus, à la production d’hormones et à la formation des globules rouges ;

Acide pantothénique. Le poulet est une bonne source d’acide pantothénique. Aussi appelé vitamine B5, l’acide pantothénique fait partie d’une coenzyme clé nous permettant d’utiliser de façon adéquate l’énergie tirée des aliments que nous consommons. Il participe aussi à plusieurs étapes de la fabrication des hormones stéroïdiennes, des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux) et de l’hémoglobine ;

Magnésium. Le poulet est une source de magnésium. Le magnésium participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Il joue aussi un rôle dans le métabolisme de l’énergie et dans la transmission de l’influx nerveux ;

Potassium. Le poulet est une source de potassium. Dans l’organisme, il sert à équilibrer le pH du sang et à stimuler la production d’acide chlorhydrique par l’estomac, favorisant ainsi la digestion. De plus, il facilite la contraction des muscles, incluant le cœur, et participe à la transmission de l’influx nerveux ;

Cuivre. Le poulet est une source de cuivre. En tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation dans l’organisme de l’hémoglobine et du collagène, une protéine servant à la structure et à la réparation des tissus. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres ;

Vitamine B1. Le poulet est une source de vitamineB1. Appelée aussi thiamine, la vitamineB1 fait partie d'une coenzyme nécessaire à la production d'énergie, principalement à partir des glucides que nous ingérons. Elle participe aussi à la transmission de l'influx nerveux et favorise une croissance normale ;

Vitamine B12. Le poulet est une source de vitamine B12. Cette vitamine travaille de concert avec le folate (vitamine B9) pour la fabrication des globules rouges dans le sang. Elle veille aussi à l’entretien des cellules nerveuses et des cellules fabriquant le tissu osseux ;

Vitamine D. La viande blanche du poulet est une source de vitamine D. La vitamine D collabore étroitement à la santé des os et des dents en rendant disponibles le calcium et le phosphore dans le sang, entre autres pour la croissance de la structure osseuse. La vitamine D joue aussi un rôle dans la maturation des cellules, dont celles du système immunitaire.

 

 

Les bienfaits de la viande de poulet

Les bénéfices santé de la viande de poulet dépendent en grande partie du morceau choisi. Idéalement, on recommande de consommer le poulet afin de profiter de l’excellente teneur en protéines, vitamines et minéraux de cette viande unique en son genre. Ainsi, favoriser le poulet au détriment de la viande rouge favoriserait la santé cardiovasculaire et aurait un impact positif sur la santé en général.

Diabète de type 2

 

Il est bien connu que le fait d’être atteint de diabète comporte un risque de complications aux reins, et que la nature de même que la quantité des protéines consommées peuvent influencer la fonction rénale. Chez des sujets atteints de diabète , des chercheurs ont notamment observé qu’en substituant le poulet à de la viande rouge pendant quatre semaines, divers paramètres de la fonction rénale s’en trouvaient significativement améliorés. 

Excellente source de protéines

 

De façon générale, le poulet est une excellente source de protéines complètes puisqu’il renferme les neuf acides aminés essentiels à l’organisme. Ces derniers ne sont pas produits par le corps et doivent ainsi provenir de l’alimentation. Les protéines servent surtout à former, réparer et maintenir l’intégrité des tissus comme la peau, les muscles et les os. Elles servent aussi à la formation des enzymes digestives ainsi que des hormones.

 

saumon

Caractéristiques du saumon

Riche en protéines ;

Source d'oméga-3 ;

Source de vitamine D ;

Source de vitamine du groupe B ;

Source de magnésium et de fer.

Valeurs nutritionnelles et caloriques du saumon

Pour 100 g de saumon cru :

Nutriments Teneur moyenne

Energie 194 kcal

Eau 66,5 g

Protéines 20,5 g

Glucides trace

Lipides 12,4 g

AG saturés 2,15 g

AG monoinsaturés 4,9 g

AG polyinsaturés 4,17 g

AG 18:1 9c (n-9), oléique 2,56 g

AG 18:2 9c,12c (n-6), linoléique 1,15 g

AG 18:3 c9,c12,c15 (n-3), alpha-linolénique 0,32 g

AG 20:5 5c,8c,11c,14c,17c (n-3) EPA 0,62 g

AG 22:6 4c,7c,10c,13c,16c,19c (n-3) DHA 0,88 g

Cholestérol 53,6 mg

Sel chlorure de sodium 0,16 g

Calcium 5,84 mg

Chlorure 73,2 mg

Cuivre < 0,1 mg

Fer 0,48 mg

Iode 8,21 µg

Magnésium 27,4 mg

Manganèse < 0,1 mg

Phosphore 181 mg

Potassium 358 mg

Sélénium 16,5 µg

Sodium 45,4 mg

Zinc 0,36 mg

Rétinol 4,27 µg

Bêta-Carotène < 0,008 µg

Vitamine D 3,69 µg

Vitamine E 1,89 mg

Vitamine K1 0,3 µg

Vitamine K2 0,5 µg

Vitamine C 1,8 mg

Vitamine B1 ou Thiamine 0,21 mg

Vitamine B2 ou Riboflavine 0,076 mg

Vitamine B3 ou PP ou Niacine 8,25 mg

Vitamine B5 ou Acide pantothénique 0,95 mg

Vitamine B6 0,58 mg

Vitamine B9 ou Folates totaux 20,8 µg

Vitamine B12 3,95 µg

Le saumon est moyennement calorique avec 194 Cal/100 g essentiellement dû à sa richesse en lipides. C’est un très bon pourvoyeur de protéines animales et de vitamine D.

Le saumon est une excellente source d’acide eicosapentaénoïque (AEP) et d’acide docosahexaénoïque (ADH), deux acides gras de la famille des oméga-3. Ceux-ci agissent comme précurseurs de messagers chimiques favorisant un bon fonctionnement immunitaire, circulatoire et hormonal. Plusieurs études épidémiologiques et cliniques ont démontré que la consommation d’acides gras oméga-3 (provenant majoritairement de poissons gras) exercerait des effets favorables sur la santé cardiovasculaire et réduirait la mortalité par maladies cardiovasculaires. Ces acides gras agissent de plusieurs façons, notamment en réduisant la tension artérielle, les triglycérides sanguins et la formation de caillots sanguins, diminuant ainsi les risques d’athérosclérose.

Très riche en protéines

Le poisson en général est une excellente source de protéines. Les protéines servent à former des enzymes digestives et des hormones, de même qu’à former, réparer et maintenir les tissus, comme la peau, les muscles et les os. Par ailleurs, plusieurs études chez l’animal ont révélé que la consommation de protéines de poisson, améliorerait la sensibilité à l'insuline et augmenterait l’absorption du glucose par l’organisme. 

Source naturelle de vitamine D

Le saumon de l’Atlantique d’élevage et le saumon kéta en conserve sont d’excellentes sources de vitamine D. La vitamine D participe étroitement à la santé des os et des dents en rendant disponibles le calcium et le phosphore dans le sang, entre autres pour la croissance de la structure osseuse.

Source de vitamine E

Le saumon en conserve est une source de vitamine E, sous forme d’alpha-tocophérol. Antioxydant majeur, la vitamine E protège la membrane qui entoure les cellules du corps, en particulier les globules rouges et les globules blancs (cellules du système immunitaire).

Très bon pourvoyeur d’oligo-éléments

Le saumon est une excellentes sources de sélénium. Ce minéral travaille avec l’un des principaux enzymes antioxydants, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans l’organisme. Il contribue aussi à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active.

Le saumon est une source de fer. Rappelons que le fer contenu dans le poisson, la viande et la volaille est présent en partie sous forme héminique, ce qui en facilite grandement l’absorption intestinale. Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux).

Le saumon est une source de zinc. Le zinc participe notamment aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Dans le pancréas, il participe à la synthèse (fabrication), à la mise en réserve et à la libération de l’insuline.

Le saumon est une source de cuivre. En tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.

Excellentes sources de vitamines du groupe B (B1, B2, B3, B5, B6, B9 et B12)

Le saumon  est une excellente source de vitamine B1. Appelée aussi thiamine, la vitamine B1 fait partie d'un coenzyme nécessaire à la production d'énergie principalement à partir des glucides que nous ingérons. Elle participe aussi à la transmission de l'influx nerveux et favorise une croissance normale.

Le saumon est une source de vitamine B2, aussi connue sous le nom de riboflavine. Tout comme la vitamine B1, elle joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules. De plus, elle contribue à la croissance et à la réparation des tissus, à la production d’hormones et à la formation des globules rouges.

Le saumon est une excellentes source de vitamine B3. Appelée aussi niacine, la vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d'énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l'alcool que nous ingérons. Elle collabore aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normaux.

Le saumon  est une excellente source d’acide pantothénique, tandis que le saumon kéta en conserve en est une source. Aussi appelé vitamine B5, l’acide pantothénique fait partie d’un coenzyme clé nous permettant d’utiliser de façon adéquate l’énergie présente dans les aliments que nous consommons. Il participe aussi à plusieurs étapes de la synthèse (fabrication) des hormones stéroïdiennes, des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux) et de l’hémoglobine.

Le saumon est une excellente sources de vitamine B6. Aussi appelée pyridoxine, la vitamine B6 fait partie de coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la synthèse (fabrication) des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leur permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et elle participe au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine joue enfin un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux.

Le saumon est une sources de folates. Les folates (vitamine B9) participent à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate de cette vitamine est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus.

Le saumon est une excellentes sources de vitamine B12. Cette vitamine travaille de concert avec l’acide folique (vitamine B9) pour la fabrication des globules rouges dans le sang. Elle veille aussi à l’entretien des cellules nerveuses et des cellules fabriquant le tissu osseux.

 

Boeuf

Caractéristique du bœuf

Riche en protéines ;

Excellente source de fer héminique ;

Source de graisses saturées ;

Valeurs nutritionnelles et caloriques du bœuf 100gr

Calories 252

Protéines 28,0 g

Glucides 0,0 g

Lipides 14,7 g

-saturés 5,8 g

-monoinsaturés 6,8 g

-polyinsaturés 0,4 g

Cholestérol 81 mg

Fibres alimentaires 0,0 g

Phosphore : le bœuf est une excellente source de phosphore 

 Le phosphore constitue le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe entre autres à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Il est l’un des constituants des membranes cellulaires ;

Fer

Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs (les messagers dans l’influx nerveux). 

Zinc : cette viande est une excellente source de zinc. Le zinc participe notamment aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Le zinc interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la synthèse (fabrication), à la mise en réserve et à la libération de l’insuline ;

Cuivre : En tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres ;

Sélénium : le bœuf est une excellente source de sélénium. Ce minéral travaille avec l’une des principales enzymes antioxydantes, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans l’organisme. Il contribue aussi à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active ;

Vitamine B2 : excellente source de vitamine B2. connue aussi sous le nom de riboflavine. Tout comme la vitamine B1, la riboflavine joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules. De plus, elle contribue à la croissance et à la réparation des tissus, à la production d’hormones et à la formation des globules rouges ;

Vitamine B3 : le bœuf est une excellente source de vitamine B3. Appelée aussi niacine, la vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d'énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l'alcool que nous ingérons. Elle participe aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normaux ;

Acide pantothénique : le foie de bœuf est une excellente source d’acide pantothénique (vitamine B5). Le bœuf haché est pour sa part une bonne source d’acide pantothénique, L’acide pantothénique fait partie d’une coenzyme clé dans l’utilisation de l’énergie des aliments. Il participe aussi à plusieurs étapes de la synthèse des hormones stéroïdiennes, des neurotransmetteurs et de l’hémoglobine ;

Vitamine B6 :excellentes sources de vitamine B6. La vitamine B6, aussi appelée pyridoxine, fait partie de coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la synthèse (fabrication) des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leur permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et elle contribue au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine joue enfin un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux ;

Folate : le foie de bœuf est une excellente source de folate (vitamine B9). Le folate participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme il est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du foetus ;

Vitamine B12 : le bœuf est une excellente source de vitamine B12. Cette vitamine travaille de concert avec l’acide folique (vitamine B9) pour la fabrication des globules rouges dans le sang. Elle travaille aussi à l’entretien des cellules nerveuses et des cellules fabriquant le tissu osseux ;

Vitamine A : le foie de bœuf est une excellente source de vitamine A, particulièrement sous forme de rétinol, une des formes actives de la vitamine A dans l’organisme. La vitamine A est l’une des vitamines les plus polyvalentes, jouant un rôle dans plusieurs fonctions de l’organisme. Elle favorise, entre autres, la croissance des os et des dents. Elle maintient la peau en bonne santé et protège contre les infections. De plus, elle joue un rôle antioxydant et favorise une bonne vision, particulièrement dans l’obscurité ;

Manganèse : le foie de bœuf est une bonne source de manganèse. Le manganèse agit comme cofacteur de plusieurs enzymes qui facilitent une douzaine de différents processus métaboliques. Il participe également à la prévention des dommages causés par les radicaux libres ;

Vitamine B1 : le foie de bœuf est une bonne source de vitamine B1.  Appelée aussi thiamine, la vitamine B1 fait partie d'un coenzyme nécessaire à la production d'énergie principalement à partir des glucides que nous ingérons. Elle participe aussi à la transmission de l'influx nerveux et favorise une croissance normale ;

Vitamine D. Le boeuf une bonne source de vitamine D.  La vitamine D joue un rôle primordial dans la santé des os et des dents, en rendant disponible le calcium et le phosphore dans le sang, entre autres pour la croissance de la structure osseuse. Elle participe aussi à la maturation des cellules, dont les cellules du système immunitaire.

 

Agneau

Caractéristiques de l'agneau

Riche en protéines ;

Source de lipides ;

Source de fer ;

Source de vitamine du groupe B ;

Limite les risques d'anémie.

Valeurs nutritionnelles et caloriques de l’agneau

La viande d’agneau fait partie des viandes relativement riches en calories avec ses 208 kcal/100 g. Elle se caractérise par une haute teneur en protéines, une richesse en eau comme la plupart des viandes jeunes. Mais c’est aussi une source non négligeable d’antioxydants (sélénium, zinc) et de vitamines du groupe B (en particulier B3 et B12).

Pour 100 g de viande d’agneau :

Nutriments

Teneur moyenne

Energie 208 kcal

Eau 60,5 g

Protéines 28,1 g

Glucides 0,011 g

Lipides 10,6 g

AG saturés 3,66 g

AG mono-insaturés 3,56 g

AG polyinsaturés 0,87 g

AG 18:0,

stéarique 0,96  g

Cholestérol 92,8 mg

Fer 1,74 mg

Sélénium 7,86 µg

Zinc 4,94 mg

Vitamine E 0,17 mg

Vitamine B1 ou Thiamine 0,083 mg

Vitamine B3 ou PP ou Niacine 6,37 mg

Vitamine B5 ou Acide pantothénique 0,58 mg

Vitamine B6 0,2 mg

Vitamine B12 2,27 µg

De l’acide stéarique pour du « bon cholestérol ».

 

L’acide stéarique est un acide gras présent dans la viande d’agneau et compte pour environ 26% des acides gras saturés totaux. Contrairement à la majorité des acides gras saturés, l’acide stéarique entraînerait une augmentation du cholestérol-HDL (communément appelé « bon cholestérol ») et n’aurait pratiquement aucun impact sur le taux de cholestérol-LDL (« mauvais cholestérol »). De plus, l’acide stéarique diminuerait légèrement le rapport cholestérol total sur cholestérol-HDL, ce qui est un effet souhaitable. Donc, malgré que la viande d’agneau ait une teneur en acides gras saturés de près de 34 %, elle compte des acides gras qui ont un effet peu néfaste sur la santé. Cette particularité augmente donc sa qualité nutritive.

 

De l’acide oléique

La graisse de la viande d’agneau contient environ 3,56 g d’acides gras mono-insaturés aux  100 g. De manière générale, la consommation d’acides gras mono-insaturés permettrait la diminution du cholestérol total sans modifier la concentration en cholestérol-HDL dans le sang. De plus, les acides gras mono-insaturés, et plus particulièrement l’acide oléique, entraîneraient une diminution du risque de cancer du sein, de thrombose, d’athérosclérose et de maladies cardiovasculaires.

Peu d’acides gras polyinsaturés

D’après des études épidémiologiques, les acides gras polyinsaturés réduiraient le risque de morbidité et de mortalité par maladie cardiovasculaire. Par contre, on les retrouve en très faible quantité dans la viande d’agneau (environ 0,87 % des acides gras totaux).

Les acides linoléiques conjugués sont un groupe d’acides gras polyinsaturés, dérivés de l’acide linoléique. Produits entre autres durant le processus de digestion des ruminants, les ALC sont présents exclusivement dans la viande obtenue de ces animaux (bœuf, agneau, mouton, cerf) ainsi que dans le lait et les produits laitiers. Des études réalisées chez l’animal ont démontré que, de façon générale, les ALC permettraient de prévenir l’obésité par une diminution du dépôt des tissus adipeux et du gras corporel. 

Un bon apport de phosphore

Le gigot d’agneau et la côte d’agneau sont d’excellentes sources de phosphore. Le phosphore constitue le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe entre autres à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Il est l’un des constituants des membranes cellulaires.

Une source de fer appréciable

Le gigot d’agneau est une excellente source de fer pour l’homme, mais seulement une source pour la femme, puisque leurs besoins respectifs en ce minéral sont différents. La côte d’agneau est quant à elle une bonne source de fer pour l’homme et une source pour la femme. Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Il est à noter que le fer contenu dans les aliments d’origine animale est très bien absorbé par l’organisme comparativement au fer des végétaux.

Un apport de zinc intéressant

L’agneau est une excellente source de zinc. Le zinc participe notamment aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Le zinc interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la synthèse (fabrication), à la mise en réserve et à la libération de l’insuline.

Des vitamines du groupe B au menu

Excellente source de vitamine B2. La vitamine B2 est aussi connue sous le nom de riboflavine. Tout comme la vitamine B1, elle joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules. De plus, elle contribue à la croissance et à la réparation des tissus, à la production d’hormones et à la formation des globules rouges.

Excellente source de vitamine B3. Appelée aussi niacine, la vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d'énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l'alcool que nous ingérons. Elle participe aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normaux.

Excellente source de vitamine B12. Cette vitamine travaille de concert avec l’acide folique (vitamine B9) pour la fabrication des globules rouges dans le sang. Elle travaille aussi à l’entretien des cellules nerveuses et des cellules fabriquant le tissu osseux.